Les discussions qui devaient se poursuivre ce mercredi 03 octobre 2018 à Kaloum, ont été boycottés par le gouvernement qui a brillé par son absence dans la salle de négociation. Le slecg a fustigé ce comportement et estime que c’est une mauvaise foi des autorités pour résoudre la crise. Pour leur part, les élèves eux s’inquiètent pour leur formation
Cette année, impossible de savoir si la reprise des classes sera effective voir si la crise entre syndicaliste et gouvernement vera son épilogue. Parce que, pour cette foi ci la partie gouvernementale n’a pas répondu présent au négociation comme prévue par les deux camps. Et pour le slecg cela se justifie par mauvaise foi. C’est ce qu’on peut noter dans les explications d’ Adrien Bami, chargé de communication de la structure syndicale.
Jusqu’à présent sur les 8 millions comme salaire de base des enseignants, le gouvernement n’a fait aucune proposition. Ce qui veut dire que l’équation à ce niveau est difficile à résoudre. Et cette situation inquiète les enfants qui souhaitent reprendre le chemin de l’école.
En attendant que la crise ne soit résolue, les élèves sont obligés de rester à la maison. Parce que les enseignants ne sont prêts à commencer les cours tend que le gouvernement ne fait pas une proposition par rapport à l’augmentation de leur salaire. |